
Selon une étude, les femmes dépensent en moyenne 10 000 € durant leur vie en serviettes hygiéniques, tampons et autres protections périodiques. Un joli petit budget, surtout quand on apprend récemment qu’elles ne seraient pas si hygiéniques que ça. En effet, beaucoup s’accordent à dire que l’intimité des femmes serait touchée par des perturbateurs endocriniens qui peuvent parfois mener au désastre…
Cette femme a décidé d’interpellé les pouvoirs politiques et la société en prenant des clichés chocs dans Paris.
Va-t-elle trop loin ?
Aujourd’hui, vendredi premier février 2019, mon sang a coulé dans Paris. Car il était temps de remettre les choses au clair : quoi que vous pensiez, nous avons le dernier mot. Nous avons le pouvoir de décision.
Extrait de sa publication
Beaucoup d’internautes se sont indignés face à ce comportement, allant à l’extreme.
Néanmoins, certains prennent conscience de cette problématique et décident aujourd’hui d’agir. C’est le cas de l’université de Lille qui avait distribué l’année dernière près de 10 000 protections à l’intention des étudiantes. Mais ils sont encore trop rares à oser et voilà pourquoi, cette féministe décide de prendre les armes à sa manière.
Pour protester contre ce qu’elle considère être une injustice, cette féministe décide d’agir. « Nous sommes vendredi 1er février 2019. Je m’appelle Irene, j’ai 20 ans et aujourd’hui je vais laisser mon sang couler dans Paris. Car si l’État refuse de payer pour nos protections périodiques, je le refuse aussi. »
Et voilà comment cette jeune femme s’affiche sur instagram avec l’entrejambe ensanglantée. Une démarche qui suscite pas mal de commentaires sur son compte. En effet, elle est soutenue par de nombreuses jeunes femmes qui la félicitent pour son courage et espère briser certains tabous.
Et vous qu’en pensez-vous ? Vos réactions en commentaires…